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Exposition à Besançon en France


Durant tout l’été, le musée du Temps accueille une collection exceptionnelle qui constitue une sorte de musée idéal et intime de l’art du XXe siècle.

Ces 160 bijoux issus d’une collection privée sont signés des plus grands noms de l’art moderne et contemporain. Des origines avec Gonzalez, Gargallo ou Picasso à Anish Kapoor, de dada au surréalisme avec Man Ray, Wifredo Lam, Victor Brauner, Max Ernst à Miquel Barcelo, de Giacometti à Louise Bourgeois, de Calder à l’art cinétique de Pol Bury et François Morellet, de Dubuffet aux nouveaux réalistes et pop’artistes Arman, César et Lichtenstein, une cinquantaine d’artistes européens et américains ont créé des bijoux en or, en argent, en acier, en plastique, souvent méconnus de ceux-là même qui connaissent leur œuvre peinte ou sculpté.

Du jeudi 11 juin au dimanche 11 octobre 2009
Du mardi au samedi de 09:15 à 12:00
Du mardi au samedi de 14:00 à 18:00
Dimanche de 10:00 à 18:00

96, Grande rue Palais Granvelle
25000 Besancon, France

viafrance.com
Les ventes aux enchères échapperaient-elles à la crise ? Depuis lundi, plus de 1 000 bijoux et près de 400 montres sont partis en quelques secondes, sous le marteau des commissaires-priseurs des deux grandes maisons Tajan et Artcurial.

« Par rapport au contexte, ça a très bien marché, notait hier, au Café de Paris, Chantal Beauvois, experte en bijoux. Les gros lots ont monté. »

Pour preuve, mardi, un bracelet en or jaune et diamants art déco (lot 39 de Tajan), estimé à 3 500 euros est finalement parti à 7 900 euros.

À 9 200 euros, les boucles d'oreilles Van Cleef & Arpels (lot 150 de Tajan) de Louis van Antwerpen en or jaune, diamants et turquoise, se sont vendues presque trois fois plus cher que leur estimation. À la beauté intrinsèque de l'objet s'ajoute ici une histoire... qui le lie à « Loulou », une des élégantes jadis les plus connues de la Côte d'Azur.

« Les quatre cessions de lundi et mardi derniers montrent le goût des acheteurs pour les beaux objets et reflètent un élan vers l'élégance de l'art de vivre dépassant les fluctuations du marché », constatait hier Artcurial.

Sans compter la dimension symbolique, inestimable par nature, la valeur d'un bijou est également fonction des tendances, du cours des pierres.

Chez Artcurial, Julie Valade, directrice du département bijoux et montres, confiait, à quelques heures de sa première vente : « On a fait attention cette année pour ne pas prendre de risques. On n'a pas cherché les trop grosses parures, ni les trop grosses pierres. L'été dernier, un diamant s'est vendu 1,5 million d'euros. Cinq ou six acheteurs étaient intéressés. Je ne sais pas si ce serait le cas aujourd'hui. »

Il faut avouer qu'« au second semestre 2008, le diamant a chuté de 30 % », note Julie Valade. Un coup dur pour la plus précieuse des pierres précieuses que confirme Chantal Beauvois de la maison Tajan. « C'est vrai que c'est plus dur en ce moment avec les diamants, surtout pour ceux de couleur moyenne. »

Est-ce la raison pour laquelle une jolie petite bague 1930, estimée entre 800 et 1 000 euros, en platine et ornée d'un diamant de 0,7 carat sur une corbeille sertie elle aussi de diamants, est partie à 500 euros ? Toujours hier après-midi, au Café de Paris, une rivière de diamants en platine a été adjugée 12 000 euros, alors que les experts l'estimaient entre 15 000 et 18 000 euros.

Mais au-delà des modes et de la crise, François Tajan d'Artcurial est formel : « le haut de gamme, rétrospectivement, n'est jamais si cher que cela... »

nicematin.com 30/07/2009
Un marché d'échange de diamants et de bijoux doivent être crée en Arménie a déclaré le chef du département de l'efficacité commercial du Ministère arménien de l'économie Gagik Kocharyan.

"La zone d'échange doit fonctionner dans la zone de libre-échange qui doit être établi à l'aéroport de Zvartnots" a-t-il dit.

Gagik Kocharyan a dit que la création de diamant et l'échange de bijoux à Erevan donnera à l'Arménie une occasion de jouer un rôle sérieux dans la région, attirera les participants du marché mondial vers l'Arménie et assurera les ventes de bijoux à l'intérieur du pays.

Il a aussi désigné que l'exécution de cette idée peut exiger tout à fait beaucoup de temps au besoin la base de matières premières et l'infrastructure respective a besoin d'être établie.

armenews, Dimanche2 août 2009

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« Combien de bijoux peut-on porter en même temps ? Y a-t-il une règle d’or ? »
Les bijoux peuvent faire ou défaire une tenue. Rien n’empêche d’en porter quelques-uns à la fois si on applique la règle suivante : se limiter à un seul point d’intérêt.

Par exemple, si on opte pour de longues parures d’oreilles, on laissera tomber le collier. Un sautoir multirang sera davantage mis en évidence si les boucles d’oreilles sont de délicates dormeuses. De la même façon, avec une enfilade de bracelets colorés en résine, on oubliera le collier ; par contre, on pourra mettre de fines créoles à ses oreilles.


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Conçue par Victoire de Castellane pour Dior Joaillerie, la collection Reines et Rois comprend dix couples de vanités, pendentifs et bagues en platine, surmontés de diamants et de pierres ornementales.

Les pendentifs représentent les rois et les bagues les reines qui tirent leur nom d'un «royaume imaginaire» comme celui d'«Opalie», par exemple.

En remettant au goût du jour le symbolisme des vanités de l'époque baroque, de Castellane a utilisé les pierres suivant leur acception traditionnelle comme la Chrysolite, aussi appelée « oeil de chat », utilisée au moyen âge pour rehausser les ornements d'église ou le Jaspe, employé dans l'Antiquité comme amulette pour soigner les maux des yeux.

Les coiffes, les couronnes et les colliers sont faits de platine et de diamants impliquant diverses techniques de sertissage .Les prix sont disponibles sur demande.

Agence France-Presse 31/07/2009